Archives de catégorie : La vie des projets et des maisons

La vie des projets et des maisons

De la part de Luna et Maki : “Centre d’observation d’une trompe à vélo de Londres” (épisode 17)

Maki et Luna nous envoient cette dix-septième photo du Centre d’observation des éléphants de Londres nouvellement créé par les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale.

Merci chers observateurs, vous pouvez compter sur moi pour ne pas me dégonfler.

Shila

Lettre de Shila : “Le monde à ma mesure”

A l’attention des enfants et des équipes de la part de M. Henri Villeneuve, membre de notre Conseil d’administration.

Henri voisine d’année en année non loin de chez Shila et lui a parlé de vous : Shila est très intéressée et souhaite converser avec vous, malgré sa timidité, tant elle vous apprécie d’ores et déjà selon les  dires élogieux d’Henri.

Etes-vous d’accord pour dialoguer avec cette créature de plusieurs tonnes ?

Henri et Emmanuel, directeur adjoint aux affaires culturelles de notre association, seront vos porte-parole.  Shila vous répondra sans fautes.

Bonjour chers enfants,

Mon cher voisin Henri me dit que cette semaine de rentrée, vous patientez sagement devant le portail de l’Ecole avant d’entrer le matin sous l’autorisation de la directrice ou du directeur d’établissement tant il faut faire attention à ce que chaque classe soit bien installée pour que le virus ne se propage pas.

Henri me dit que pendant ces moments d’attente, vous aimez poser à vos éducatrices et éducateurs des questions arithmétiques. Compter le nombre de tours sur vous-mêmes que vous venez de faire en tournant comme dans un manège, ou combien de dodos avant de revoir Maman, Papa : ce sont là en effet des questions très importantes.

Et puis mon cher voisin Henri me dit aussi que le week-end, quand vous partez en randonnée, vous savez exactement le nombre de kilomètres parcourus pour en conclure que c’était une sacrée aventure.

Savez-vous combien de kilomètres moi, l’éléphante, je parcours quand je suis mon cornac pour aller entretenir la forêt ?  Quarante kilomètres maximum, me dit Henri. Il faut vous dire que souvent je suis véhiculée à bord d’un camion pour rallier le lieu de mon travail.

Ma copine Jis me dit que certaines de mes cousines et cousins sauvages, pourchassés par des personnes mal intentionnées, ont pu parcourir deux cents kilomètres en une journée.

Emmanuel, l’ami de mon voisin Henri, m’a dit que d’après les chercheurs qui, tout comme ma copine Jis, observent la vie sauvage, l’animal parcourant le plus grand nombre de kilomètres à l’année serait le loup gris de Mongolie : sept milles deux cents quarante sept kilomètres d’après leur relevé ! Ouille ouille ouille, j’en ai mal aux pattes rien que d’y penser.

Quand nous autres les pachydermes nous courrons, nous pouvons aller presqu’aussi vite que l’humain le plus rapide du monde, bien qu’étant bien plus lourds. Nous avons été chronométrés à quarante kilomètres / heure. Moi l’éléphante contemplative, je suis admirative de votre recordman du monde du cent mètres ; Mister Usain Bolt, a été chronométré à quarante-quatre kilomètres / heure lors de son record du monde :

Chez les animaux, l’animal le plus rapide est un oiseau : un faucon pèlerin qui a pu être chronométré à trois-cents quatre-vingts neufs kilomètres / heure en vol piqué ! Cette performance folle le place parmi les voitures d’humains les plus rapides du monde. L’animal le plus lent de tous est le paresseux : vous savez ? Sid, dans « l’âge de glace ». Il se déplace en moyenne à la vitesse de deux mètres par heure.

Emmanuel m’a expliqué qu’il avait été nommé “paresseux” car les humains s’exaspéraient de sa lenteur. Moi l’éléphante qui ait plusieurs rythmes selon ce que mon corps permet pense que la lenteur peut être une sagesse.

Et savez-vous combien mesure l’animal le plus grand du monde, et l’animal le plus petit du monde ? Quarante-cinq mètres, pour la baleine bleue, et sept, huit millimètres pour la grenouille Paedrophryne amauensis. Autant je ferais attention à ne pas marcher sur cette grenouille, autant je ferais attention à laisser passer la baleine s’il y a une priorité à droite au rond-point devant la plage.

Je me demande combien vous mesurez, selon les années. Pour moi, vous grandissez chacun à votre façon.

Mais tout cela, chers enfants, pose la question la plus intéressante de toutes : combien de kilomètres par jour pensez-vous que nous tous, vous les enfants, vous les humains, nous les animaux (mais aussi mes chères bananes ou noix de coco) parcourront dans l’univers quand la Terre tourne autour du Soleil en une année ?

Et bien c’est deux millions cinq cents soixante-treize milles deux cents cinquante-deux kilomètres. Oui oui, et à la vitesse incroyable de cent sept milles trois cents vingt kilomètres / heure.

Extraordinaire n’est-ce pas ?

Beaux déplacements chers enfants,

A demain,

Shila

On rembobine : “Passeurs de coeur” (7 juillet 2017)

Aujourd’hui, et pour continuer ce reportage à travers le temps à propos de ce que nous sommes, ce à qui nous le devons, et ce pour quoi nous agissons tous les jours, et par ordre d’ancienneté de nos archives : le spectacle “Passeurs de coeur” créé par les enfants, les professeurs d’atelier, et écrit et coordonné par François Roy, présenté sur la scène de la Salle “Le Phenix” en la ville d’Outreau le 7 juillet 2017.

Un grand merci à Lucie pour ce film :

Un grand merci à Paulo et au comité de pilotage patrimoine de notre association pour ce travail, ainsi qu’à Quentin, notre informaticien et Fabmanager de nos Maisons (pour découvrir l’activité des comités de pilotage ayant soutenu cette action culturelle, choisir la rubrique dédiée en cliquant sur le lien référencé ici).

La vie de foyer !! Comment ça se passe depuis le confinement ? : Tourneboulés jusqu’à la plage du Portel (épisode 90)

Ce 28 juin 2020, la Maison du Cirque a profité d’un soleil éclatant pour réviser quelques roulades permettant de rallier la plage en évitant les déviations.

Découvrez les images transmises par Elodie, membre de l’équipe éducative :

De la part de Luna et Maki : “Centre d’observation d’une éléphante pêchée à Londres” (épisode 16)

Maki et Luna nous envoient cette seizième photo du Centre d’observation des éléphants de Londres nouvellement créé par les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale.

Merci chers observateurs, me voilà accueillie par les marins-pêcheurs de Boulogne-sur-mer.

Shila

Lettre de Shila : “L’école chez moi”

A l’attention des enfants et des équipes de la part de M. Henri Villeneuve, membre de notre Conseil d’administration.

Henri voisine d’année en année non loin de chez Shila et lui a parlé de vous : Shila est très intéressée et souhaite converser avec vous, malgré sa timidité, tant elle vous apprécie d’ores et déjà selon les  dires élogieux d’Henri.

Etes-vous d’accord pour dialoguer avec cette créature de plusieurs tonnes ?

Henri et Emmanuel, directeur adjoint aux affaires culturelles de notre association, seront vos porte-parole.  Shila vous répondra sans fautes.

Chers enfants et cher Brandon,

J’espère que la reprise de l’école se passe bien pour vous, quelques jours avant les vacances.
Ici, la nouvelle année scolaire commence normalement en Inde, en juin. Mais en raison du virus, l’école n’a pas repris, sauf pour les examens, dans les conditions de respect de la distance et sécurité des élèves.

Je vais cependant vous parler encore de l’école, en réponse à toi, Brandon, qui me demandais si j’avais des écoles autour de chez moi. J’ai répondu en partie à ta question en parlant des écoles dans mon village de Kurichithanam, mais j’ai encore beaucoup à expliquer sur l’école en Inde et au Kerala.

Mon pays est devenu indépendant le 15 août 1947, il y a seulement 73 ans, après 200 ans de colonisation britannique.

“Aujourd’hui, en Inde, une femme adulte sur deux est analphabète et un homme sur quatre, soit 65% en moyenne d’adultes alphabétisés. Il est vrai qu’ils n’étaient que 18% en 1947, ce qui souligne à la fois l’importance de « l’œuvre civilisatrice » de la Grande-Bretagne et le chemin parcouru depuis !
A compter du 1er avril 2010, l’école est devenue obligatoire, dans toute l’Inde, pour tous les enfants de 6 à 14 ans. Egalement gratuite, les millions d’enfants déscolarisés (entre 8 et 60 millions selon les sources !) devraient donc, en théorie, s’intégrer dans le système éducatif. Mais rien n’est moins sûr, même si l’école est gratuite y envoyer son enfant a un coût pour les parents (vêtements, fournitures, déplacements) sans compter que, pendant le temps scolaire, l’enfant ne participe pas à la survie économique de la famille.

Si les maharadjahs du Travancore (le Travancore est une partie de l’état du Kerala, créé en 1947) avaient l’ambition de développer l’éducation, les gouvernements des Etats du Sud, Tamil-Nadu et Kerala, ont conduit, depuis l’Indépendance, une politique particulièrement dynamique de scolarisation primaire, pour les filles comme pour les garçons. Au Tamil-Nadu les trois quart des adultes sont alphabétisés, au Kerala 91%, et tous les enfants scolarisés. Ces gouvernements ont poursuivi une politique de discrimination positive à l’égard des plus pauvres et des castes défavorisées. Les écoles publiques sont gérées par le gouvernement et l’Etat fournit gratuitement aux enfants l’uniforme, les livres de classe ainsi qu’un déjeuner quotidien, de la première à la douzième classe, soit du CP à la terminale. Aux Dalits, ou « Intouchables », le gouvernement offre également les cahiers et stylos. Tous les cours sont donnés dans la langue de l’Etat (tamil et, au Kerala, malayalam, une langue dérivée du tamoul au XIIIe siècle).”

L’école est obligatoire depuis seulement 10 ans en Inde !! Bien que la constitution de l’inde l’avait envisagée, en 1950, sans en donner les moyens.

“C’est donc logiquement que l’éducation gratuite et obligatoire est inscrite dans la Constitution. Celle-ci, dans son article 45, précise en effet que « l’Etat devra s’efforcer de mettre en place dans un délai de 10 ans à partir de la présente constitution une éducation gratuite et obligatoire pour tous les enfants jusqu’à 14 ans révolus ». Cependant, l’article 45 fait partie des Directive principles of state policy, il s’agit donc d’une incitation et non pas d’une obligation constitutionnelle.”

Chacun des 29 états de l’Inde a son ministre de l’éducation et son budget. L’état du Kerala est de loin celui qui a misé le plus sur l’éducation, avec des budgets importants et des écoles sur tout le territoire.

Mon voisin et ami Henri me rappelle son étonnement de voir l’université dans les villes moyennes du Kerala, déjà dans les années 1970 !! L’université s’était rapprochée de la population.

Non seulement les familles pauvres ne payaient pas la scolarité de leurs petits, mais les enfants rentraient à la maison avec de la nourriture, participant ainsi à la survie économique de la famille.

Un grand philosophe et économiste indien, Amartya Sen, prix Nobel d’économie, ne tarit pas d’éloges sur la façon dont le Kerala a su conduire sa politique :

“Les réalisations du Kerala dans le développement social et la qualité de vie sont, sans aucun doute, inspirant et encourageant. L’Etat a atteint un indice de développement humain comparable aux pays développés du monde. Le professeur Amartya Sen a attribué ces réalisations en grande partie à la priorité que l’Etat a accordé à l’alphabétisation élevé entre tous les Etats indiens et de l’ éducation depuis longtemps. La société attache tant d’ importance à l’ éducation que l’école dans le Kerala est vraiment le noyau du microcosme social. Une meilleure éducation attise les aspirations du peuple et la principale préoccupation est sur la façon d’améliorer la qualité de l’ éducation.”

Mon voisin KR Narayanan, dont nous sommes si fiers, faisait un discours à la nation indienne, en tant que président de la République, en 2000, où il invitaient les états indiens à prendre exemple sur le Kerala, pour favoriser l’éducation.

Si le Kerala est aujourd’hui un exemple en Inde et dans le monde, pour sa gestion du système de santé et de la crise du Covid-19, c’est bien en raison du niveau d’éducation des gens. Notre ministre de la santé est invitée à l’ONU, pour partager son expérience.

Voilà, chers enfants et cher Brandon, encore une fois la preuve de l’importance de l’école pour chaque enfant et pour un pays, car rien n’est joué d’avance, tout est à construire et vous ne devez rien lâcher, comme vous l’a dit Patrick, le parrain de votre association.

Pour moi, L’éléphante très observatrice, j’ai vraiment plaisir à avoir des humains bien éduqués autour de moi, attentifs au bien-être de tous ainsi que de la nature si belle qui nous entoure, ici au Kerala, comme chez vous à Boulogne.

Je vous fais de gros bisous et vous souhaite une bonne dernière semaine d’école avant vos vacances,

A demain,

Shila

On rembobine : “Les Chroniques 2016-2017”

Aujourd’hui, et pour continuer ce reportage à travers le temps à propos de ce que nous sommes, ce à qui nous le devons, et ce pour quoi nous agissons tous les jours, et par ordre d’ancienneté de nos archives : les chroniques filmées de la saison 2016-2017, réalisées par Lucie Legros.

Un grand merci à Paulo et au comité de pilotage patrimoine de notre association pour ce travail, ainsi qu’à Quentin, notre informaticien et Fabmanager de nos Maisons (pour découvrir l’activité des comités de pilotage ayant soutenu cette action culturelle, choisir la rubrique dédiée en cliquant sur le lien référencé ici).

De la part de Luna et Maki : “Centre d’observation d’une bande passante de Londres” (épisode 15)

Maki et Luna nous envoient cette quinzième photo du Centre d’observation des éléphants de Londres nouvellement créé par les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale.

Merci chers observateurs, la visioconférence peut même flasher des éléphants de salon en excès de vitesse.

Shila

Lettre de Shila : “Le conflit croissant entre animaux et humains en Inde”

A l’attention des enfants et des équipes de la part de M. Henri Villeneuve, membre de notre Conseil d’administration.

Henri voisine d’année en année non loin de chez Shila et lui a parlé de vous : Shila est très intéressée et souhaite converser avec vous, malgré sa timidité, tant elle vous apprécie d’ores et déjà selon les  dires élogieux d’Henri.

Etes-vous d’accord pour dialoguer avec cette créature de plusieurs tonnes ?

Henri et Emmanuel, directeur adjoint aux affaires culturelles de notre association, seront vos porte-parole.  Shila vous répondra sans fautes.

Salut les enfants,

J’espère que vous vous portez tous bien !

Je ne sais pas si vous avez entendu parler d’un incident qui est arrivé récemment dans mon état, le Kerala. C’est une histoire qui me rend très triste mais je ressens le besoin de la partager avec vous parce qu’elle est importante.

Dans le Nord du Kerala, une éléphante enceinte s’est promenée autour d’un village et a, par accident, consommé un ananas piégé pour tuer les sangliers qui endommagent les cultures des fermiers… Cet ananas était rempli d’explosifs et a explosé lorsqu’elle a croqué dedans.

Gravement blessée, elle est restée plusieurs jours dans la rivière pour essayer d’enlever les mouches qui venaient se poser sur ses plaies. Elle est morte après une semaine de souffrance ! Je ne peux pas imaginer la souffrance qu’elle a dû endurer… !

J’ai parlé de cet incident à ma voisine Jis. Elle m’a expliqué le conflit croissant entre les humains et les animaux en Inde. La destruction des forêts, le changement climatique, le manque de nourriture, l’âge vieillissant des animaux et surtout des éléphants les poussent à quitter les forêts et piller des fermes pour trouver facilement de la nourriture. Les agriculteurs tentent de protéger leurs cultures en effrayant ces animaux avec des pétards, tambours ou des lampes torche ultra puissantes. Le conflit a empiré ces dernières années et il est arrivé que des gens soient tués par mes cousins sauvages.

La chasse est une autre forme de conflit qui tue mes cousins.

Il existe différents mécanismes en place pour empêcher les éléphants sauvages d’entrer dans les fermes : des tranchées, des clôtures électriques solaires, des murs de défense, des clôtures en bois, des clôtures de protection des déchets, etc. Une tranchée est un long fossé étroit de deux mètres de large et trois mètres de profondeur. Les clôtures solaires fonctionnent grâce à l’énergie solaire et envoient des petites décharges aux éléphants qui les touchent. Un mur de défense est une clôture immense. Les clôtures en bois sont construites à l’aide de poteaux et de balustrades. Enfin, une clôture de protection des déchets se compose de déchets, de pneus, etc. Cependant, ces techniques ne fonctionnent pas bien.
En plus de ces mécanismes, les agents forestiers informent les fermiers lorsque des éléphants se rapprochent de leur terrain. Si quelqu’un est blessé ou même tué, le gouvernement apporte son soutien aux familles via des offres d’emploi ou de l’argent.

Parfois, des personnes installent des pièges pour les sangliers ou autres petits animaux. C’est illégal.
Les corbeaux, souris, rats et chauve-souris sont les quatre seuls animaux (aussi appelés nuisibles) pour lesquels le contrôle est autorisé. Il est arrivé que de grands animaux, comme les éléphants, tigres, léopards se fassent attraper dans de tels pièges. Selon Jis, si une personne est responsable d’un tel crime, elle est condamnée à une longue peine de prison. J’espère vraiment que cette pratique de capture illégale s’arrêtera bientôt.

Les rapports montrent, qu’au Kerala, au moins 17 personnes meurent chaque année dans les conflits impliquant les humains et les éléphants. Cela m’attriste…

Jis, en tant qu’écologue, m’a dit que de nouvelles stratégies ont été mises en place afin de réduire ce conflit. Une technique récente de clôture sous forme de ruche maintenue à distance égale des habitats des animaux et des habitations des humains semble avoir porté ses fruits en Afrique ainsi que dans d’autres endroits de l’Inde. Le bourdonnement des abeilles nous effraie beaucoup nous les éléphants ! Les agriculteurs obtiennent en même temps du miel et de bonnes cultures. Je souhaite qu’il n’y ait de dommage dans aucun des deux camps. C’est pourquoi j’espère tant qu’une coexistence arrive vite !

Je vous embrasse tous,

A lundi,

Shila

On rembobine : “Joutes nautiques sur la Liane” (3 juillet 2017)

Aujourd’hui, et pour continuer ce reportage à travers le temps à propos de ce que nous sommes, ce à qui nous le devons, et ce pour quoi nous agissons tous les jours, et par ordre d’ancienneté de nos archives : les enfants joutent le 3 juillet 2017 sur la Liane, fleuve traversant de part en part Boulogne-sur-mer, lors d’une compétition co-organisée avec le BCK dans le cadre du festival Les Journées d’enfance.

Un grand merci à Maxime Beaumont, qui a remis aux participants médailles et trophées honorant le panache des Maisons.

Découvrez les images réalisées par Eric, membre de l’équipe éducative de la Maison du Cirque :

Découvrez les images réalisées par nos soins :

Un grand merci à Paulo et au comité de pilotage patrimoine de notre association pour ce travail, ainsi qu’à Quentin, notre informaticien et Fabmanager de nos Maisons (pour découvrir l’activité des comités de pilotage ayant soutenu cette action culturelle, choisir la rubrique dédiée en cliquant sur le lien référencé ici).