Archives de catégorie : Newsletter 2012-2015

La lettre du Directeur

La lettre du directeur #6

Madame, Monsieur,
Chers collègues, chers amis,

Faits d’hiver et sainte famille.

Avant les vacances de Noël, certains membres de l’institution ont vécu une période difficile : un adolescent s’est plaint d’être battu par un éducateur. Plus exactement, un adolescent s’est plaint qu’il serait battu par un chef de service si la directrice du collège allait au bout de sa décision : exclure l’enfant pour violences sur un autre camarade de sa classe, fait qui lui avait déjà été reproché.
Pensant faire son devoir en voulant protéger un jeune de maltraitance, la directrice effectue un signalement au procureur de la république, sans prendre le soin d’appeler le directeur de la maison d’enfants pour éventuellement protéger le jeune de tels risques en son sein.
Bien sûr, il n’en était rien. Le chef de service fut entendu par la police. A la demande des inspecteurs de porter plainte contre l’éducateur, les parents ne manquèrent pas d’ailleurs de signaler toute la confiance qu’ils accordaient à l’institution et refusaient de soutenir le fils dans ses mensonges.
Le même jeune, d’ailleurs, était suivi dans un service de soins, à qui il ne manqua pas de raconter la même histoire. Et croyez le si vous le voulez, le spécialiste ne fut point mieux averti qu’un autre. D’une parole, sans précautions, il en déduisit l’acte.
S’il devient si facile de dénigrer la parole d’un adulte en lui réglant son compte par adolescent interposé, nous ne sommes pas sortis d’affaire !

Au fait, vous ne le croirez sûrement pas, l’adolescent menteur ne fut pas sanctionné pour ces faits de violence à l’égard de son camarade. Nous étions dans la rubrique : comment fabriquer des criminels ? Rassurez-vous, nous envoyons un courrier à la directrice pour lui demander le droit à être sanctionné pour cet adolescent.

Il est des cas où la parole de l’enfant doit être questionnée, et d’autres ou elle mériterait d’être entendue : cela fait la énième tentative de suicide de cette jeune fille. Il y a un an, déjà, puis plusieurs fois dans l’année. Puis ces jours-ci, et toujours cette difficulté à accepter de dénoncer ses violeurs.
Un autre jeune vient nous trouver en pleurs, lui le dur à cuir, d’apparence : « Monsieur, je crois que ce que j’ai vécu avec mon frère s’appelle un viol ».

Durant cette même période, E., 15 ans, a fugué, pour se rendre chez son père. Les travailleurs sociaux n’y étaient pas opposés, mais lui ont demandé de respecter le protocole et l’autorisation du juge : le faire en présence d’un éducateur. Lui, de cela, il n’en voulait pas. C’est seul qu’il le fit. Sans autorisation. En tête à tête. D’homme à homme, si j’ose dire.
L’adolescent fait son travail d’adolescent. Il a besoin de rencontrer son père. Il le fait. Que pourrions nous en redire ?
Bien sur nous lui rappelons la méthode qui eut été préférable à mettre en œuvre : courrier au juge, appel téléphonique au travailleur social, discussion avec le chef de service ou l’éducateur référent. Oui, et nous lui avons dit. Mais ce que nous avons valorisé, d’abord, au cours de cette courte discussion, c’est sa capacité à prendre des risques, à faire ce qu’il avait à faire, en sa qualité de fils.

Cette formule surprendra encore, bien qu’elle soit employée depuis plusieurs décennies, lorsqu’il est question du travail du fils. Il en est pourtant ainsi, et c’est ce que nous apprennent ces jeunes qui sont séparés de leur père ou mère depuis de longues années.
La période de Noël y est propice pour les raisons que chacun comprendra : c’est le temps marqué de l’absence ou de la carence de ce lien. C’est aussi le temps pour le réveiller, en produire du sens, prendre position et faire décision.
Ce faisant E. sait qu’il ne pourra vivre chez lui, qu’il sera peut être déçu de nouveau par un lâchage éprouvant, que ce sera compliqué le week-end prochain lorsqu’il rentrera chez sa mère, qui, en étant informé, lui reprochera. Peu importe. Oui, peu importe. E . se donne ainsi les moyens de devenir père un jour et de pouvoir assumer une filiation en pouvant habiter une place qui aura été travaillée pour lui même.

Je reçois un appel téléphonique la veille de Noël par un jeune majeur aujourd’hui sorti de l’institution. Je ne peux répondre dans l’instant et mon téléphone me signale quelques minutes après l’arrivée d’un SMS. Je voulais juste vous appeler et vous souhaiter un joyeux Noël. Je reste sous le choc et me rappelle les horreurs perverses que l’enfant de moins de six ans subit lorsque son père lui a demandé de regarder des cassettes pornographiques. A chaque Noël, je renoue avec le tragique.

Nous sommes parfois quelques uns à regarder du côté de la toiture de la ferme et de son inscription en tuiles noires de l’année de sa réfection : 2000. Un millénaire, cela se marque.
Un jeune de l’institution, que nous appellerons François, et qui a participé à ce travail, est décédé quelques jours après la naissance d’un fils. Ces retrouvailles avec le père n’avaient pu s’effectuer. Prendre place de père lui a été impossible.

Pendant les vacances, une jeune éducatrice accueille avec son mari quelques enfants de l’institution avec ses propres jeunes enfants. C’est vraiment une fête pour les jeunes de l’institution. Une vraie confiance, un vrai plaisir d’être la grande sœur ou le grand frère. Pour L., moins de 10 ans, ce sont d’ailleurs des retrouvailles, et il ne manque pas de le dire à ses camarades qui participent pour la première fois à ce camp et cet encadrement. Il est protecteur de la petite fille, qui accepte ses bizarreries, son envahissement, tout en sachant le remettre à sa place lorsque cela déborde. Un matin, il se réveille en disant : « j’ai la gale », ce qui arrive parfois, bien sûr. L. en a plein le visage, non de la gale, mais d’un eczéma. Sa mère fut sauvagement défigurée par un homme aujourd’hui incarcéré.
Chacun trouve le chemin pour dire, pour faire, pour décider. Rien ne pourra remplacer ces manques. Faire semblant de le faire est dérisoire.

Ce dimanche de la galette des rois sonne le retour des camps de Noël. Les enfants sont heureux de leurs séjours d’en parler avec leurs amis, et de se retrouver. L’on reparle aussi de la fête qui a rassemblé plus de 180 personnes, adultes et jeunes réunis aussi pour l’occasion autour du départ à la retraite d’un chef de service.
Faire communauté. Voilà ce que nous essayons de faire, pendant ces quelques jours de fête, que nous ne refusons pas de vivre. Toutes et tous sont joyeux de se retrouver, de parler de leurs bonnes vacances, de se souhaiter la bonne année.

La communauté se rassemble. La communauté reconnaît ses passages, ces humanisations. Et oui, c’est cela une institution, un foyer, une maison des enfants de la culture.

Aujourd’hui, rentrée des classes.

Eric Legros, directeur.

 

La lettre du Directeur #5

Madame, Monsieur,
Chers collègues, chers amis,
Ouverture… (Saison 2012-2013)
Voici donc, non notre première saison culturelle1, (car il y en a eu bien d’autres) mais, pour la première fois, une présentation en amont des événements de l’année.
Il devenait incontournable de passer par cette ouverture, chère à chaque établissement culturel ou cité, d’abord pour que chacun puisse prendre date, mais aussi pour confirmer toute la place que nous accordons à ces rendez-vous au sein de notre établissement d’éducation.
Les premiers, à l’interne, seront assez traditionnels, avec « Les accueils en nos maisons des enfants de la culture »2
Contes et concerts en duos,(Jazz et musique juive) nous permettent d’aller au spectacle tous ensemble, adultes et enfants. Et ce n’est pas rien que de le vivre , avant de prendre une soupe à l’auberge , en compagnie de l’artiste invité, de pouvoir en reparler, le soir, au coin du lit, avant de s’endormir, ou le lendemain matin , à la croisée des chemins vers l’école.
Ces rendez-vous alternent avec « nos sorties au Channel de Calais ou vers Les scènes voisines du Boulonnais » dès que l’occasion se présente, sur notre littoral, ce qui n’est pas rare. C’est pourquoi leurs propositions sont intégrées à « notre saison », et incluses sur le document de présentation. Ils se réjouiront, sans aucun doute de cette appropriation qui contribuera à familiariser les jeunes accueillis au sein de notre association à la fréquentation de leurs établissements3. Et nous accueillerons en cours d’année d’autres initiatives avec l’agglomération dont la résidence de Sarah Debove.
Mais ce sera peut-être une marque de fabrique de l’association que de concevoir une saison culturelle en reprenant les séminaires, conférences et formations internes, dont nous avons déjà parlé dans notre dernière newsletter :
• Avec le musée Schlumberger, son directeur, Christophe De Ceunynck et son équipe, pour une réflexion avec l’ équipe des Maisons sur « les nouvelles pédagogies », « les circuits courts de la production de projets culturels », « la mise en patrimoine d’une diversité de mémoires et d’histoire en un même lieu » et concevoir ensemble des ateliers sur les techniques de patrimonalisation,
• Avec Eric Parot(physicien) et Fabien Hamm (photographe), pour développer des ateliers avec les enfants qui les emmèneront, pour l’un, montrer en public des démonstrations au Palais de la Découverte et, pour l’autre dans les rues de Boulogne et dans le sillage de la roulotte pour prendre en photo façon XIXe s. les futurs donateurs d’objets mémoriels personnels thématisant l’enfance,
• Avec Vincent Laborey et Emmanuel Paris d’autre part, invités pour l’occasion par l’IFAR sur le thème de la « co-production éducative »
• Avec Fabrice Brutus (archéologue), pour développer des ateliers d’archéologie expérimentale permettant aux enfants de reconstruire des outils de nos ancêtres,
• Avec Bernadino Torres, pour une conférence philosophique sur la mesure,
• Avec Dominique Dray, psychanalyste, sur le thème « le corps pensé, la pensée du corps »
• Puis, enfin, lors de notre colloque de fin d’année, sur le thème : «Tout en mesure» avec la plus grande diversité de chercheurs, dans le cadre des « Journées d’enfance » et de son rassemblement du 2 juillet.
Il s’agit bien de prendre au mot ce que « culture d’établissement » pourrait bien vouloir dire et d’en déployer d’autres horizons que les seuls qui nous sont demandés aujourd’hui.
Non seulement pour des réunions dites de synthèse autour du parcours d’un jeune, mais établir des fiches de poste, des règles et autres grilles horaires, mais aussi contribuer au développement d’une certaine éthique de vie au sein de cette communauté éducative, laisser émerger les initiatives et travailler en confiance.
Non seulement pour établir des fiches de poste, des règles et autres grilles horaires, mais aussi contribuer au développement d’une certaine éthique de vie au sein de cette communauté éducative, laisser émerger les initiatives et travailler en confiance.
Non seulement pour des réunions dites de « synthèse » autour du parcours d’un jeune, mais d’abord pour entendre et partager des récits de vie en des lieux de transmission.
Non seulement pour des réunions d’organisation et de fonctionnement, mais aussi pour laisser de la place aux rituels, us et coutumes, traditions, faire des choix de patrimonialisation et en faire un espace « instituant ».
Les ateliers4 ont repris au sein des maisons avec nos intervenants en danse, musique, sport, sophrologie, arts plastiques, rythmant la semaine de temps de soin, d’expression et de création. Les voyages initiatiques vers l’Afrique de l’ouest aussi. En ce début d’année scolaire, la vie semble plus légère… Et pourtant, il s’agit toujours, dans cette association, d’accueillir quelques chaos d’existence…et de ne pas s’y laisser prendre !!!Merci à tous ceux qui y contribuent au quotidien et ceux qui, par leur visite, nous encourage : Une pensée particulière pour Corinne Marienneau, François Roy, Gérard Philippe, pour leurs amitiés et rigueur dans le travail.
Pour cette année, nous avons souhaité mettre à l’honneur Michel Lafond, Clown et musicien Boulonnais, bienfaiteur de l’une de nos associations fondatrices, qui venait partager quelques repas avec les enfants de l’orphelinat. Merci à Roger Lemaire, journaliste, son ami, d’avoir bien voulu nous transmettre cet hommage5.

Eric Legros, Directeur.

Lettre du directeur #4

Madame, Monsieur,
Chers Collègues et amis,

Nous sommes à quelques jours des journées d’enfance de notre association. C ‘est une mobilisation « herculéenne » à laquelle nous assistons dans les services :

-Répétition de chacun des ateliers, danse, musique, cirque, sports,
-Dernières reprises des travaux en arts plastiques pour les décors et la création de méduses, lions, centaures et autres personnages de la mythologie qui squattent ainsi toutes les têtes
-Essayage des costumes au sein de notre atelier de haute couture éphémère que nous ouvrons de nouveau pour l’occasion avec Valérie.
-Assemblée générale et présentation par François Roy, notre metteur en scène « invité de l’année », et dès lundi , écoute de la bande son, mardi filage, mercredi répétition générale, samedi, trois heures avant le spectacle ,programmé à 16 heures, répétition de type allemande.

C‘ est donc bien à partir du travail d’atelier des enfants que nous installons ces maisons des enfants de la culture.

Le colloque est né aussi de nos interrogations sur l’enfance des uns et des autres.. Comment les jeunes de l’association se représentent ils dans l’espace et le temps, quels sont leurs investissements au sein de l’environnement d’accueil ou d’accompagnement, vers quel avenir se projettent-ils ? Ce vendredi nous entendrons comment la réponse de ces jeunes nourrit la réflexion du Président du Conseil Economique et Social et Environnemental, et celles de nos invités.

Enfin, aujourd’hui, nous sortons définitivement des marges et vous proposons une promenade en ville avec quelques points de rencontre et la participation de sportifs, archéologues, physiciens, musiciens, la représentation des ateliers des enfants le samedi 16h00 dans la salle du « Carré Sam ».

C ‘est aussi ce à quoi nous souhaitons contribuer avec ce colloque : Ouvrir la réflexion sur le social et médico social au plus grand nombre, faire de la politique de l’enfance sur un territoire une préoccupation majeure, inscrire la protection de l’enfance dans une politique de la jeunesse de l’agglomération et du Département.

En ces périodes de métamorphose plus que de crise, il est urgent de faire un pas de coté pour préparer l’avenir, principalement pour ceux qui cherchent à retrouver leur histoire pour renouveler le présent de leur existence.

 

Eric Legros, Directeur.

 

La lettre du directeur #3 (23/05/12)

 

Le 23 mai 2012,

Ce weekend, notre association et les jeunes étaient les partenaires du « Club des Cent Cravates » et ce fut une belle rencontre.
D’abord, parce que les enfants et éducateurs ont contribué à la réussite de cette manifestation, efficacement. Ce faisant, ils se sont intégrés au sein d’une équipe d’adultes, se sont montrés compétents et désireux de réussir, et pouvaient porter haut l’appartenance à cette association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale ». La population a été très accueillante ; ils se sont sentis utiles et valorisés.

D’autre part, l’équipe a pu présenter son projet de fin d’année, « Les Journées d’Enfance ». Tout un programme pour inscrire l’action de l’association sur le long terme, au sein du territoire, et à l’écoute des recherches effectuées dans d’autres secteurs :

Inscrire l’action de l’association sur le long terme pour préparer l’avenir des jeunes accueillis est essentiel à notre travail au quotidien. Il s’agit, de donner de la perspective au travail éducatif et d’offrir aux jeunes la capacité de se projeter dans le futur. Pris au quotidien par de multiples interventions, l’éducateur bénéficie de ces « temps décalés du présent »que nous proposons pour penser la relation ici et maintenant, en tenant compte d’hier et investir le futur.

L’appartenance d’une association d’action éducative au sein du territoire doit être réinventée régulièrement.
L’on comprend qu’il y ait pu y avoir, il y a trente ans, le souci de ne pas stigmatiser une population et le souhait de rendre discret le travail effectué. Pour autant, nous devons pouvoir à la fois faire connaître l’objet de notre association, qui s’appuie sur des valeurs de solidarité et de culture, tout en appliquant les règles déontologiques qui sont les nôtres, dont celle de la discrétion au sujet de ceux que nous accompagnons.

Enfin, il est nécessaire de prendre appui sur les autres disciplines parce que, ce qui concerne notre jeunesse, nous concerne tous. Sortir des seuls repères habituels de l’action éducative, c’est permettre aux praticiens d’inscrire leurs actions au cœur des questions actuelles de notre société. C’est parce que nous nous interrogions sur le « temps de l’enfant » accueilli et accompagné que nous convions à la fin du mois de juin des hommes politiques, des chercheurs et des scientifiques autour des équipes socio-éducatives de l’association sur le thème « L’avenir, c’est du passé en préparation ». Les enfants seront ainsi nourris à travers les ateliers que nous proposons toute l’année.

Eric Legros, Directeur.

 

Lettre du directeur #2 (20/04/2012)

 

Nous sommes heureux de vous proposer la visite de notre site.

 

Il manquait à notre si jeune association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale » : fondée et déclarée le 09 juin 2011 en sous-préfecture de Boulogne sur mer.

 

Nous l’avons conçu pour y mettre en valeur l’actualité des services. Ainsi, en première page, vous y trouverez :

 

  • Une lettre du directeur, bi mensuelle, pour évoquer les orientations éducatives et culturelles de l’association.

  • Un « gros plan sur » pour mettre en valeur le travail des jeunes ou des éducateurs au sein des services.

  • Une rubrique « Actualités » : qui vous présentera les derniers articles parus.

Notre site sera d’ailleurs alimenté par le blog de chacun des services auquel vous aurez accès à partir de ce site.

 

Vous y trouverez aussi  des informations institutionnelles, la présentation de chacun des services, quelques  archives de nos associations « La Maison des Enfants de la Marine » et « les oeuvres du Refuge de St Anne », et tous les articles que nous créerons au fil du temps.

 

Des informations pratiques pourront aussi vous être nécessaires, à vous, travailleurs sociaux ou partenaires de tous les instants.

 

Une grande place sera donnée aux activités culturelles, marque de fabrique de  l’association, reprises  dans la rubrique  de notre programme l’aventure de la vie.

 

En vous souhaitant une belle Itinérance sur notre toile.

 

Bien à vous

 

Eric Legros, Directeur.

 

Lettre du directeur #1

Nous sommes heureux de vous proposer la visite  de notre site.

Il manquait à notre si jeune association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale » : fondée et déclarée le 09 juin 2011 en sous-préfecture de Boulogne sur mer.

Nous l’avons conçu pour y mettre en valeur l’actualité des services. Ainsi, en première page, vous y trouverez :

– Une lettre du directeur, bi mensuelle,pour évoquer les orientations éducatives et culturelles de l’association.

– Un « gros  plan sur »  pour mettre en valeur le travail des jeunes ou des éducateurs au sein des services.

– Une rubrique « Actualités » : qui vous présentera  les derniers articles parus.

Notre site sera d’ailleurs alimenté par le blog de chacun des services  auquel vous aurez accès a partir de ce site .

Vous y trouverez aussi  des informations institutionnelles, la présentation de chacun des services, quelques  archives de nos associations « La Maison des Enfants de la Marine » et « les oeuvres du Refuge de St Anne », et tous les articles que nous créerons au fil du temps.

Des informations pratiques pourront aussi vous être nécessaires, à vous, travailleurs sociaux ou partenaires de tous les instants.

Une grande place sera donnée aux activités culturelles, marque de fabrique de  l’association, reprises  dans la rubrique  de notre programme l’aventure de la vie.

En vous souhaitant une belle Itinérance sur notre toile.

Bien à vous

Eric Legros, directeur.