Fêtant la nouvelle exposition du Musée de Boulogne-sur-mer, un enfant participe à l’atelier de peinture proposé pour célébrer Edouard Manet et Clair de lune, oeuvre réalisée par le célèbre artiste lors d’un séjour à Boulogne.
Fêtant la nouvelle exposition du Musée de Boulogne-sur-mer, un enfant participe à l’atelier de peinture proposé pour célébrer Edouard Manet et Clair de lune, oeuvre réalisée par le célèbre artiste lors d’un séjour à Boulogne.
Fêtant la nouvelle exposition du Musée de Boulogne-sur-mer, Crystal (Maison des Découvreurs), a participé à l’atelier de peinture proposé pour célébrer Edouard Manet et Clair de lune, oeuvre réalisée par le célèbre artiste lors d’un séjour à Boulogne.
(Image illustrative : “Clair de lune sur le port de Boulogne-sur-mer”, Edouard Manet, Musée d’Orsay)
Fêtant la nouvelle exposition du Musée de Boulogne-sur-mer, Marie (Maison de la Musique), Maximilia (Maison des Découvreurs), Sofia et Kylian (Maison du Cirque) ont participé à l’atelier de peinture proposé pour célébrer Edouard Manet et Clair de lune, oeuvre réalisée par le célèbre artiste lors d’un séjour à Boulogne.
L’association “Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale” recherche des personnes désireuses de faire partager leur expérience professionnelle à un(e) jeune de notre institution.
Vous trouverez plus d’informations sur cette annonce ci-après :
Parrainer un (e) jeune jusqu’au premier emploi
L’association de protection de l’enfance « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale », sise à Saint-Martin Boulogne, Outreau et Wimille (62) crée un réseau de parrainage au service des jeunes dont elle a la responsabilité dans le cadre de l’Aide à l’Enfance.
Vous trouverez toutes informations à propos des Maisons en cliquant ici.
Nous recherchons des personnes prêtes à accompagner un des jeunes de plus de 15 ans de notre association jusqu’à son premier emploi.
Cette relation de parrainage ne se substitue pas au travail éducatif de nos équipes. Elle le complète en permettant à la filleule ou au filleul volontaire de prendre régulièrement conseil auprès de sa marraine ou de son parrain pour réussir au mieux son insertion professionnelle.
Cette politique de parrainage est coordonnée par le Conseil de la Culture d’entreprendre de notre association.
Vous trouverez plus d’informations sur cette instance, dédiée à l’apprentissage des savoir-faire, savoir-être, savoir avoir – c’est-à-dire la capacité par les enfants et les jeunes de notre association d’être davantage encore conscients de ce qui est acquis et ainsi d’enrichir et développer des compétences pour bâtir leurs parcours professionnels, en cliquant ici.
Pour toutes demandes d’informations complémentaires, vous pouvez écrire à :
Monsieur Emmanuel Paris, directeur adjoint aux affaires culturelles de l’association et secrétaire du Conseil de la Culture d’entreprendre
Vous pouvez télécharger cette annonce pour la diffuser autour de vous en cliquant sur l’image ci-dessous (une fois que l’image apparaît sur votre écran, clique droit de la souris puis “enregistrer sous”) :
Voici la lettre d’intention rédigée au terme d’une année de réunions tout au long de la saison 2017-2018 pour préciser la volonté de l’association d’accueillir la résidence art / science 2019, soutenue par le programme Les Nouveaux commanditaires de la Fondation de France, et par la Fondation Daniel et Nina Carasso sous l’égide de la Fondation de France.
Cahier des charges de la résidence art / science 2019
Préambule :
L’association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale » est créée en juin 2011. Elle est habilitée par le Conseil départemental du Pas-de-Calais dans le cadre de la protection de l’enfance et est reconnue d’utilité publique. Elle accueille des enfants à la suite d’une décision des services sociaux ou judiciaires. Ces placements se font pour cause de carence éducative du milieu d’origine, allant de problèmes de comportements aux troubles de la personnalité.
L’association reçoit ou accompagne chaque année près de 130 enfants de 6 à 21 ans, originaires de toute la Côte d’Opale (de Berck-sur-Mer à Calais), et dans une moindre mesure du bassin lensois, de l’arrageois, et d’autres pays. 70 salariés et 30 bénévoles vivent, pensent et agissent avec ces enfants.
La décision de mise en œuvre d’une mesure éducative au sein de notre association s’exerce soit en internat, dans les Maisons des Enfants de la Culture, soit en externat (via le Centre de Jour, la Maison Vive, ou les séjours “Itinérance”), soit par des interventions à domicile au cœur de l’environnement familial du jeune (service DMAD DARF).
Un programme d’éducation et de soin fondé sur l’action culturelle est mise en œuvre à destination de ces enfants et de ces jeunes par une communauté éducative pluridisciplinaire ; ils pratiquent toute l’année en arts, en lettres, en sciences, en sports, découvrent les nouvelles technologies, peuvent aller à la rencontre d’autres contrées lointaines, assistent à des spectacles professionnels, et sont acteurs culturels par l’organisation de manifestations dans l’espace public durant lesquelles ils présentent les créations issues de cette formation.
Les commanditaires :
Emmanuelle Dehée, président de l’association « La Maison des Enfants de la Marine »
Claire Beugnet, directrice de l’association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale »
Emmanuel Paris, directeur adjoint aux affaires culturelles de l’association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale »
Joseph Bako, chef de service de la Maison de la Musique et du service « Itinérance » et des « Studios », association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale » ;
Yannick Coppin, chef de service du Centre de Jour et de la Maison Vive, association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale »
Pierre-Yves Maquinghen, chef de service de la Maison du Cirque et de la Maison du Sport, association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale »
Sandrine Loggia, chef de service de la Maison de la Danse et du Service de maintien à domicile, association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale »
Un enfant représentant les enfants et les jeunes, association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale »
Le contexte de la commande :S’inscrire dans le long terme pour desserrer l’étau du court terme.
L’association « Les Maisons des Enfants de la Côte d’Opale » gère plusieurs sites de protection de l’enfance dans le boulonnais, accueillant en internat des enfants et jeunes adultes placés sur décision de justice ou venant dans les familles dans le cadre du maintien à domicile. Au-delà de la diversité des cas, un point commun caractérise les enfants ; une grande difficulté à se projeter dans une pensée de long terme, qu’il soit rétrospectif (se souvenir) ou prospectif (s’imaginer devenir autre).
Le temps moyen d’une mesure d’assistance éducative dans notre institution est de deux ans et demi. Cependant, près de la moitié des enfants arrivent au sein de nos Maisons avec des expériences traumatiques qui obèrent leurs visions de la vie à venir. Le travail des équipes éducatives est à ce moment-là de les aider à rouvrir le champ des possibles, de leur redonner confiance en eux et en les adultes, de reconstruire les schèmes du vivre et de l’agir ensemble dans les familles, dans le territoire.
L’enfant devenu adulte parvient ou ne parvient pas à devenir parent (ainsi du suicide de deux anciens quelques mois après la naissance de leur enfant) : le retour concret en famille n’est évidemment pas suffisant pour garantir à chacun sa place symbolique dans la filiation et les générations. Souvent bénéfique à court terme pour l’enfant, le jeune, cette intervention éducative ne porte cependant ses fruits (ou est tangible) que bien après le passage dans l’association, parfois vingt, trente ans plus tard, quand, devenu adulte, il parvient éventuellement à assumer sa biographie, et à enfanter ; éduquer son enfant, à son tour.
Agir au temps présent, en sachant que les résultats se révéleront dans un futur hors de portée pour les membres de l’association : cette interrogation sur ce que deviendra l’enfant devenu adulte, a inspiré un programme éducatif et culturel pluriannuel : L’aventure de la vie. Celui-ci est fondé sur le principe de rencontres avec des personnes issues des mondes des arts, d’autres pays, des lettres, de l’entreprise, des sciences, des sports et des techniques, considérant que ces moments partagés pour créer réaffirment à l’enfant son inscription dans le temps long de l’aventure humaine. Ce questionnement sur le devenir des êtres a aussi inspiré l’opération d’archéologie prospective intitulée Le petit déjeuner sous l’herbe.
Le 2 juillet 2010 a eu lieu au lieu-dit « La Ferme de Bertinghen », 264, rue du Four à Chaux 62 280 Saint-Martin-Boulogne « Le petit déjeuner sous l’herbe ». L’opération mobilisait les ressources de l’archéologie, en proposant aux enfants et adultes d’enfouir dans une fosse spécialement créée à cette occasion dans le jardin de l’internat, des objets personnels qu’ils confient aux scientifiques des décennies futures.
La démarche est double : mettre en scène une rencontre avec des chercheurs certes fictifs (ils n’étaient pas présents le 2 juillet 2010) mais dont on prépare, par la contractualisation avec des institutions de cette discipline, la venue vingt ans puis quarante ans plus tard sur le lieu du petit déjeuner (les fouilles archéologiques programmées les 2 juillet 2030 et 2050).
Descriptif de la commande :
Afin de maximiser les probabilités que les fouilles archéologiques aient effectivement lieu les 2 juillet 2030 puis 2 juillet 2050, nous demandons sur le site du « petit déjeuner sous l’herbe » la création d’une œuvre monumentale, verticale et faite de matériaux particulièrement pérennes (capables de résister à l’usure du temps et aux dégradations de la part des résidents de la ferme de Bertinghen et alentours). L’œuvre doit apparaître dans le paysage visuel du site, afin que le lieu archéologique ait son pendant hors-sol. Tenant compte des enfants habitant le site, et compte-tenu de nos responsabilités, l’œuvre doit être sans dangers (matières arrachées susceptibles d’être utilisées pour des actes inconvenants, escalades non-autorisées mettant en péril la santé de l’enfant, etc.)
L’œuvre doit être conçue de façon à durer jusqu’au 2 juillet 2050. Sur ce dernier point, et dans l’hypothèse où l’œuvre monumentale serait associée à un rite, nous pensons à une œuvre susceptible de reprendre et de s’approprier les principes du sanctuaire d’Ise au Japon – déconstruit/reconstruit à l’identique chaque vingt ans depuis près de 1200 ans. Cette seconde proposition suppose donc la formulation d’un rituel, permettant aux résidents de l’association de refaire régulièrement sur le site du « petit déjeuner sous l’herbe » et d’ici 2050 l’œuvre créée. L’œuvre serait donc aussi un cérémoniel, toujours rendant visible à travers les âges l’importance du site archéologique.
A ce sujet, un rassemblement est d’ores et déjà organisé chaque 2 juillet depuis l’année 2011, dédiée à fêter les retrouvailles avec les anciennes et les anciens de l’institution (certaines et certains âgés de cinquante, soixante ans).
Objectifs de la commande :
L’objectif, à court terme est de créer une œuvre, figure médiatrice entre la famille de l’enfant et la société (la justice qui a décidé du placement de l’enfant, l’association qui en conséquence accueille l’enfant, etc.). Il s’agit aussi de créer une figure médiatrice capable d’émanciper l’enfant de la relation qu’il s’interdisait jusque-là de dire quant au passé (voici ce que j’ai vécu) et au futur (voici ce à quoi j’aspire devenir).
Dans un moyen terme, l’opération vise quatre objectifs :
– tester la solidité des formes classiques de l’institutionnalisation (contractualiser aujourd’hui des actions à mener dans vingt et quarante ans avec des acteurs institutionnels dont on ne sait pas s’ils existeront encore à ces échéances, quelle sera leur identité, etc.) ;
– comparer l’efficacité des protocoles de développement éducatif et culturel (partenariats avec des acteurs et institutions hors de notre champ professionnel ; travail de communication d’année en année pour faire évoluer l’image de la protection de l’enfance auprès de l’opinion publique) ;
– analyser en 2030 puis 2050 l’usure du temps sur la mémoire des objets et des participants (de quoi les personnes se souviennent-elles, avec quel degré de précision ? À quel point le sol a-t-il détérioré les objets placés là ?) ;
– permettre de retrouver les enfants, devenus adultes en 2030 et 2050, savoir ce qu’ils sont devenus.
Les enjeux de la commande :
Trois cadrages théoriques fondent cette proposition d’élever à partir du sol une œuvre sur le site du « petit déjeuner sous l’herbe ».
Inspirée de « l’enterrement du tableau piège » de l’artiste Daniel Spoerri, en 1983 dans le parc du campus HEC de Jouy-en-Josas, l’expérience « Le Petit Déjeuner sous l’herbe » considère le temps passé non pas dans un sens cumulatif, historicisé (le temps passé serait perdu une fois qu’il a eu lieu, pour laisser sa place aux temps présent et futur ; le temps passé doit être passé sous silence), mais dans un sens itératif, qui est celui du temps de la remémoration, de la mise en partage (le temps passé – celui incorporé dans les objets placés dans la fosse, serait à venir : il sera défini lors de rencontres ultérieures (lors des fouilles archéologiques), et pour garantir qu’il soit correctement interprété, les enfants doivent expliciter ce passé, décrire à celui rencontré vingt et quarante ans après cet acte ce en quoi il fait sens).
C’est aussi une scénographie permettant de questionner la notion de « filiation », sa plasticité, laquelle est certes rompue ou abîmée par les traumas infligés aux enfants, mais peut être revitalisée y compris en de pareilles circonstances.
Le « Petit déjeuner sous l’herbe » tente de recomposer la chaîne filiale, en rendant à nouveau possible l’association entre temps passé (celui du vestige, de l’objet personnel déposé dans la fosse) et monde adulte, devenu bienveillant (monde adulte incarné par les archéologues, qui chercheront à savoir l’histoire de ces vestiges pour dire au mieux ce qu’ont vécu leurs propriétaires).
Troisième et dernier cadre théorique : les catégories de témoins matériels de cette opération et de son rapport au temps ; vestiges dans le sol, archives numériques et papiers, traces écrites et sculptées produites chaque année pour commémorer « Le petit déjeuner », explorent l’affirmation formulée par Sigmund Freud, selon laquelle, pour reprendre les termes de sa lettre écrite en 1896 à Wilhelm Fliess, les mécanismes psychiques se forment tels le processus de stratification du sol : la mémoire n’est pas présente à l’esprit une mais plusieurs fois, et elle est déposée en différentes espèces de signes, au fur et à mesure de rencontres.
Trois cadrages théoriques, mais une hypothèse générale ; l’émancipation des enfants de leurs expériences traumatiques originelles, la mise en mouvements de leur mémoire, peut trouver son ancrage dans la fosse du « Petit déjeuner », car l’opération établit une scène sur laquelle, de manière réactualisée du 2 juillet 2010 aux 2 juillet 2030 et 2050, ils peuvent répartir avec les personnes qu’ils rencontreront ce qu’ils veulent enfouir et ce qu’ils veulent préserver, ce qu’ils veulent oublier et ce qu’ils veulent reconnaître, ce dont ils veulent être conscients et ce qu’ils préfèrent laisser à l’état de non-dit.
Mots clés :
Verticalité de l’œuvre surface du sol – hors sol / Création hybridée (Art/Science/Technique) / Mémoires individuelles mises en mouvement / Histoire collective ritualisée / Transmission intergénérationnelle / Protection de l’enfance / Patrimoine matériel (idée du mémorial existant de manière permanente pendant 30 ans) vs. Patrimoine immatériel (idée des actes mémoriels reproduits chaque année pendant 30 ans).
Le 25 janvier, lors de la réunion trimestrielle du Conseil scientifique, Åbäke/Maki, lauréat de notre résidence art / science 2019, a présenté le projet final, adopté à l’unanimité lors de cette assemblée.
Le titre de ce projet : “Connaissez-vous la blague du petit déjeuner ? 2010-2019-2050”, inventé par Lilian (Maison du Cirque), a inspiré Luna :
2019, année durant laquelle nous nous projetons en 2050, fut choisie comme référence futuriste dans le film Blade Runner, lequel fut inspiré de la nouvelle de Philip K. Dick : Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?, qui imaginait à son époque un avenir lointain se réalisant en 1992.
Maria et Guillaume, venus de Dunkerque avec dans le coffre de la camionnette les créations artistiques choisies pour ce projet, ont placé consciencieusement, avec beaucoup de soins, d’attention, les objets composant ce nouveau parcours d’exposition à l’attention des enfants et des jeunes de notre institution.
Tandis que Maria regardait l’espace de la salle sophro et positionnait chaque création à la place qui lui revenait, Guillaume utilisait un laser pour mesurer exactement l’horizontale des cartels fixés au mur pour dire la généalogie de la création exposée à leurs pieds.
Les photos réalisées durant cette fabrique du thème qui est le nôtre jusqu’au terme de notre saison culturelle Y’a d’la joie sont ici :
A partir de ce jour et pendant trois mois lors d’ateliers animés conjointement par Sylvie, professeur en arts plastiques du Centre de Jour et de la Maison Vive, et Elodie, chargée des expositions in situ du FRAC, les enfants vont étudier la démarche des auteurs des œuvres installées en salle sophro mais aussi à Dunkerque afin de créer à leur tour un parcours d’exposition, lequel sera inauguré en septembre 2019 au Fonds Régional d’Art Contemporain, à Dunkerque.
Plus d’informations sur les œuvres installées en salle sophro ici.
Ce mardi 5 février, Sophie Goujon-Durand, chercheuse et professeur à l’Ecole Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles de la ville de Paris, Yoann-Nicolas Jaffre, ingénieur électronicien de l’entreprise Schlumberger Ltd et coordinateur pour la France de la Fondation SEED, et Eric Parot, ingénieur physicien et membre de notre Conseil scientifique, ont proposé aux enfants du Centre de Jour de découvrir les principes mécaniques de l’éolienne.
Lucie, réalisatrice de nos chroniques, est venue filmer cette séance qui ne manque pas d’air.
Découvrez les images de cette séance, transmises par Nicolas, membre de l’équipe éducative du Centre de Jour :
François Roy, metteur en scène des spectacles qui, chaque année, closent en beauté nos saisons culturelles, a rencontré les enfants pour recueillir ce que leur inspire le thème.
Ce verbatim ainsi que les inspirations de François nourrissent les réflexions des réunions organisées régulièrement avec les enfants, les professeurs des ateliers, les chefs de service et la direction.
Rendez-vous le 5 juillet à l’occasion du Festival “Les Journées d’Enfance 2019” pour voir sur scène s’exprimer les idées formulées ci-après :
CUEILLETTE à la PREVERT
De l’Effort à la Joie, il y a l’apprentissage !
Maison du Sport :
Gagner un match
Se surpasser ou se dépasser ses limites
Surpassement c’est un sur-effort
C’est être Au-dessus de soi
Il faut un effort
Oui On a des limites
Je ne sais pas / rien puis après on sait
Non a priori je n’ai pas de limites et je sais tout ; Je fais l’effort dès le début et mon effort est de développer ce que je sais à priori et ce que j’ai en moi (Maïeutique)
L’Effort, c’est le vouloir
Je ne savais pas courir, mais j’ai appris ; maintenant je sais et comme je sais, j’ai de la joie à courir
J’apprends la moitié des règles puis je m’arrête, puis je reprends et là je fais un effort pour reprendre
J’ai le désir de jouer de la guitare mais il faut que j’apprenne le solfège qui demande au moins deux ans ; je ne fais pas l’effort de l’apprendre alors je ne joue pas ; je suis conscient que la joie est toute proche mais qu’elle ne viendra pas sans l’effort d’apprendre le solfège
Car l’effort est dans un temps long
L’effort, c’est reprendre sur sa volonté (Sarah)
Mais il y a du collectif dans l’effort
On me « force » et c’est l’entourage qui encourage
L’effort, c’est le contraire de la paresse
Mais il y a l’effort puis le découragement puis l’effort de nouveau, faut recommencer
Ce serait bien mais moi je n’y arrive pas, je ne sais pas, je ne peux pas
LA JOIE :
C’est être content de quelque chose, de quelqu’un, des autres
C’est relatif à la famille, à l’entourage comme l’effort (collectif)
La joie c’est être content de Soi mais c’est aussi être content pour eux, pour l’autre
La joie améliore, rend meilleur.
D’avoir fait un effort sur soi même
C’est le plaisir de partager la joie de l’autre, la victoire de l’autre ou la sienne ou tous ensemble (la guerre et la victoire de tous)
C’est le plaisir de partager en dépassant ses propres qualités
La joie : il y a le choix et la limite d’entreprendre ; Cela concerne aussi le libre arbitre (quelle joie ? quel effort ?)
L’ENERGIE de l’effort
Pour un effort il faut de l’énergie, de la volonté mais pour la volonté il faut de l’énergie
La souffrance est la limite de l’effort
La joie c’est l’écho de l’effort, c’est l’écho de la réussite
La volonté est la bataille entre la réussite et l’échec mais aussi une bataille avec soi-même
La Règle du jeu :
L’effort : c’est apprendre et/ou respecter la règle du jeu ; après il y a la joie
LE TEMPS :
Il faut du temps avec l’effort, pour l’effort
L’effort est long et la joie courte
Quand la joie est longue, elle reste en soi, cela peut devenir de la fierté ; elle se partage et/ou elle se ressent aussi en collectif, et parfois avec l’autre
La joie, c’est une épreuve ; timide, il faut que je me dépasse pour montrer ma joie
Oser montrer sa joie !
L’histoire de la joie c’est l’histoire de l’apprentissage qui passe par l’effort et le collectif
Maison du Cirque :
LA JOIE :
Joie de vivre, être heureux, avoir le sourire, c’est collectif, être collectivement dans la joie, s’entraider à être joyeux
La joie c’est du dynamisme, donne du dynamisme ; tout cela c’est de l’énergie
La joie ce sont de couleurs, elle est colorée
La joie, c’est être en bonne relation avec l’autre avec soi-même
On se soutient et c’est l’encouragement,
La joie vient de l’effort quand on se surpasse, c’est le surpassement réussi
La joie, c’est le nez rouge du clown
Le visage exprime la joie, il sourit ; l’expression de son corps avec ses gestes contents
La joie c’est quand on a une bonne nouvelle suite à l’effort donné ou par hasard comme une rencontre imprévue
Cirque = apprentissage = effort= résultat= joie du spectacle
Maison de la Musique :
L’EFFORT :
Faire face à une difficulté mais l’effort n’est pas toujours réussi
La passion c’est faire ce qu’on aime : comme «contrôler» un cheval ; le cheval c’est l’image de ma passion, l’effort c’est contrôler ma passion avec les rênes, mais il faut apprendre à conduire son cheval et cela demande de l’apprentissage et ne pas avoir peur ; cela demande de la connaissance
Faire un effort, c’est apprendre à respecter et vivre
L’effort, c’est faire l’effort d’apprendre à travailler pour avoir de la joie
L’effort de se lever le matin
L’effort d’aimer
Mais Il faut insister, se battre
L’effort de montrer quelque chose donne du plaisir, mais il y faut du courage
Il y a aussi l’effort physique, l’entrainement, la répétition, recommencer
Pour l’effort, il faut avoir le moral mais il faut aussi de la Morale
Au début il faut un objectif comme avoir un bon métier par exemple ; l’objectif atteint, c’est la réussite et celle-ci donne la Joie
Mais la réussite, c’est aussi apprendre à être nous-mêmes
Peut-on réussir sans effort ?
LA JOIE :
Elle peut être en famille, dans la scolarité, dans l’amour mais avec les autres
La joie est un sentiment ; elle se ressent
Le temps de la joie et de l’effort :
La joie est brève, quand elle est lente c’est le bonheur
L’effort peut être lent et long
Etre joyeux : l’effet d’être joyeux dure mais ça dépend ….
Centre de Jour :
LA JOIE :
Heureux, sourire c’est long, c’est un moment
La Joie est courte
On est content et c’est coloré comme au cirque
On est joyeux avec la voix, par la parole
Quand il y a la musique, elle devient du chant
La colère amène du rire mais ce n’est pas de la joie
La joie, c’est le moment de la réussite, quand on atteint un but, quand on va vers …
Mais il faut apprendre comme l’apprentissage des métiers
L’effort demande du courage comme pour le timide par exemple
La joie apporte de la fierté, quand on accomplit des trucs bloqués ; l’effort, c’est de débloquer
L’effort est au début
Il y a l’envie (le désir ?) d’avoir du courage, l’humeur est au début et il y a un projet puis le ratage, et il faut reprendre, se reprendre avec l’envie d’avancer, d’apprendre
Maison Vive :
Prendre du plaisir c’est la joie
Avec le jeu comme le vélo, le basket, le foot etc..
Jouer c’est la joie
Mais on apprend un jeu, et on peut jouer alors ; alors y a du plaisir et c’est la joie
L’effort c’est marcher longtemps
C’est travailler longtemps
La joie est rapide, vite ou longue, ca dépend
La joie c’est vague
Parfois il y a l’explosion de joie
La joie est colorée :
Rouge colère
Bleu : foncé triste
Jaune : normale
Orange : énervé
Bleu clair : joyeux
Vert : mal au ventre
Blanc…..
Mais aussi la joie peut être jaune
Maison des Découvreurs :
Y a pas de joie dans le combat
La joie :
Un anniversaire, à Noël, la fête, une naissance, quand on est gâtés, au parc d’attraction
Quand on est amoureux, quand on va voir ses parents
La joie, elle se partage, avec les amis, au BBQ
Il y a de la joie tout seul aussi, quand on dort,
Quand on se remémore des souvenirs heureux
Y a de la joie avec un porte-bonheur, sur son vélo, quand on regarde une photo, quand on se défoule, quand on joue au sport
Quand on réussit son bac
J’ai fait 20 bornes, c’était très long, j’ai fait un effort mais j’étais joyeux et fier
J’ai fait un effort pour voir mon frère
Le hasard procure de la joie, comme rencontrer par hasard quelqu’un qu’on aime bien et qu’on n’a pas vu depuis longtemps
Le chevalier fait un effort pour trouver le trésor de son roi (chevalier de la table ronde/ la chasse au trésor)
Maison de la Danse
LA JOIE :
Des gens qui rient ensemble
Une bonne ambiance
Une bonne équipe ; c’est collectif, la joie
Une vie sans problème ça donne de la joie car on est content
Quand on ne se lève pas du pied gauche
La joie vient suite au travail ; l’effort est ensemble, c’est collectif et ça donne une joie collective
Les souvenirs, c’est une joie ancienne qui peut durer
La joie c’est une rencontre amoureuse, une amitié, c’est le hasard de la vie
La joie c’est le cadeau désiré et attendu qui arrive enfin
L’EFFORT:
Par le muscle
Avoir le moral
Avoir envie
La Morale, l’effort de respecter et d’être respecté (droit et devoir, les règles du jeu)
C’est le travail
Il y a L’épreuve
Le voyage est un effort
La timidité demande un effort, faire ou parler devant tout le monde
Contes et Histoires qui peuvent nous guider
Pinocchio (majoritaire)
Peter Pan (il est joyeux, et son effort est sa ruse)
(Puis par ordre décroissant)
Le petit poucet
Les soldats de la guerre de 14 18 qui luttent et sortent victorieux
Le petit prince
Ulysse
La belle et la bête
Le vieil homme et la mer
Spiderman
(Chevalier de la table ronde/ la chasse au trésor)
Cliquer sur l’image ci-dessous puis, quand elle apparaît sur votre écran, cliquer une nouvelle fois en touchant la partie droite de votre souris pour la télécharger sur votre ordinateur :