Ces 29 et 30 avril au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, la compagnie “Presque rien” a proposé aux enfants et aux équipes éducatives sa création en danse contemporaine “Piski”.
Anouck, Claire, Florie, Elise, Stéphanie, François racontent par le chant, la danse, la musique les racines, issues du mariage entre le bassin minier et la Pologne.
“Piski” évoque le souvenir d’un grand-père polonais mineur ; 10 ans de danse folklorique polonaise à baigner dans les musiques et les chants. Elle arbore les étoffes chatoyantes des costumes.
Ce sont ces moments de chaleur humaine qui l’animent : les bals, les fêtes, les quelques mots de polonais qui s’égrènent encore au fil des conversations avec ses proches …
Les enfants et les équipes ont aimé regarder ces corps en mouvements, la symbiose des chants choraux venus de l’Est, la beauté des habits portés tout à tour.
Découvrez les images réalisées le 30 avril avec l’aimable autorisation de la compagnie “Presque rien” par Bruno Defachelle, chef de service de la Maison de la Danse et du DMAD DARF :
Ce mardi 4 mars au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, Catherine a proposé aux enfants et aux équipes éducatives une première représentation du texte de Duncan Macmillan Toutes les choses géniales.
Catherine, talentueuse dans l’art d’incarner avec fluidité les moments de la vie de cet enfant devenu grand, a raconté la riche palette des émotions vécues tour à tour, parfois en même temps, d’un être sur le chemin de sa maman souffrant d’une maladie dont elle ne parvient pas à se relever.
Le thème du grandir démesurément dans l’âge dès sept ans, la difficulté d’être confronté à des questions existentielles si tôt et pendant des décennies après est au cœur de ce récit.
Chaque jour pour cet enfant devenant adulte est ainsi un défi avec ses essais, ses erreurs, ses enseignements pour soi et et, peut-être, pour sa maman.
Ingénieux, l’enfant invente une technique pour convaincre sa mère (et le public dans notre salle de spectacle) des petits bonheurs que la vie nous propose pour qui sait y prêter attention. Cette technique (tenir consciencieusement une liste) sera sienne tout au long de ce parcours d’aidant : le délice d’une glace, la droit de regarder la télé un peu plus tard que la veille ou, alors que l’enfant est devenu étudiant, choisir les cours d’un professeur qui permettent de comprendre mieux ce qu’il arrive.
Ce sont là quelques exemples (et Catherine nous en propose au moins des dizaines) témoignant à chaque fois que la vie vaut la peine d’être vécue.
Les enfants et les adultes ont aimé jouer avec Catherine, incarnant tantôt des rôles, tantôt s’exclamant en lisant à voix haute les choses géniales listées par le personnage.
Exercice vocal, exercice physique, présence sur scène ; au service d’un texte oh combien attachant, Catherine nous a ému et éveillé par son charisme.
Mercredi 5 mars, Catherine a présenté une seconde représentation.
Découvrez les photos réalisées ce 5 mars avec l’aimable autorisation de Catherine et James, régisseur du spectacle, par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse :
Découvrez les vidéos réalisées ce 5 mars avec l’aimable autorisation de Catherine et James, régisseur du spectacle, par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse :
Ces mardi 21 et mercredi 22 janvier au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, Coline a proposé aux enfants et aux équipes éducatives deux représentations de la pièce inventée et racontée par ses soins : “Un pas de côté“.
Et si l’une des apogées de nos vies était la rencontre avec des animaux et ce qu’ils peuvent nous apprendre de nous-mêmes ? Coline nous emmène sur un chemin jalonné de ces moments qui tour à tour nous décentrent, nous recentrent, toujours pour nous donner un supplément d’âme.
Le bestiaire de Coline est fantastique : araignée, coq, crabe, écureuil, escargot, mille pattes ; le règne animal dans sa diversité, sa singularité, exprime par le corps contorsionné de Coline qui l’interprète une fantaisie, des enseignements que le public, enfants et adultes, aime à se remémorer une fois sorti de la salle de spectacle.
Si chaque animal mis en scène par Coline aura la faveur d’untel ou d’unetelle, l’histoire qu’elle nous raconte va bien au-delà de ces affaires de goûts. Une journée peut commencer avec de sombres présages mais pour celle ou celui disposé à s’enchanter d’une incroyable rencontre réalisée chemin faisant, son monde intérieur sera enrichi au terme de cette journée.
Le trésor de la vie c’est bien, nous dit Coline, d’être attentif aux moindres petits clins d’œil du monde qui nous entoure ; un caillou à la drôle de forme, une fleur aux couleurs chatoyantes, un arbre aux ramures improbables, un animal dont la forme, la taille, la manière de déambuler inspirent la possibilité d’autres manières d’être soi.
L’après-midi de ce mercredi 22 janvier, Coline a rencontré les enfants du Centre de Jour pour dialoguer ensemble sur le plaisir de s’exprimer en chant, en mime, en acrobatie.
Découvrez les images réalisées avec l’aimable autorisation de Coline par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse :
Ces mardi 10 et mercredi 11 décembre au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, la compagnie “Les Chevals de trois” a proposé aux enfants et aux équipes éducatives deux spectacles : l’Ourse d’émeraude le mardi et Des chèvres en Corrèze le mercredi.
Un grand merci à Dimitri pour ses prestations sur scène et à Jérôme pour les belles lumières.
Découvrez les images réalisées avec l’aimable autorisation de la compagnie par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse le 11 décembre :
Ces mardi 12 et mercredi 13 novembre au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, Muriel a proposé aux enfants et aux équipes éducatives deux représentations de la pièce inventée et racontée par ses soins : “HistoireS de bien se faire peur une bonne fois pour touteS“.
“Criiic ?“, demande Muriel.
“Craac !” répond le public.
C’est parti pour l’ouverture de la boîte à raconter une histoire à se faire peur et d’en méditer ensemble quelques enseignements pour la vie.
Muriel nous emmène au pays des trois petits cochons, du chaperon rouge, de la Barbe bleue avec à chaque fois cette question existentielle : avons-nous eu peur en écoutant ces récits, en nous les remémorant, en les revivant ? De quelle sorte est cette peur que nous pouvons ressentir ? Moi, toi, nous : qui ou quoi fait peur et qu’est-ce que cela dit de moi, de toi, de nous ? Quel est mon loup, ton loup, notre loup ? Si la peur est là, à quoi me sert-elle, à quoi te sert-elle, à quoi nous sert-elle ?
Muriel conte ces trois aventures avec talent, incarne tour à tour les personnages, leurs réparties, leurs silences et se joue avec le public de la lumière des spots du café-théâtre pour mieux exprimer leur caractère.
Ah, il en faut des gros godillots pour cheminer dans ces histoires à bien se faire peurs ; enfants, adultes ont aimé pérégriné avec Muriel dans ces pas oniriques, ont joué avec elle à commenter pas à pas la gradation des sentiments à mesure que progresse l’histoire dite.
Ce 13 novembre après-midi, Muriel et les enfants du Centre de jour se sont promenés sur la plage et un conte fantastique fut créé à l’initiative de Dany.
Découvrez les images réalisées avec l’aimable autorisation de Muriel par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse :
Ces mardi 8 et mercredi 9 octobre au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, Hélène et Anthony ont proposé aux enfants et aux équipes éducatives deux représentations du conte de Jacob et Wilhelm Grimm, revisité et intitulé Gretel et Hansel.
Hélène et Anthony ont raconté aux enfants et aux équipes l’histoire de personnages inspirés du célèbre conte ; non loin d’une forêt, une grande soeur et son petit frère se remémorent leurs souvenirs d’enfance, avec un père autoritariste et une mère peu protectrice.
“Gretel et Hansel revisitent avec finesse et empathie les figures légendaires de ce récit du répertoire classique au succès jamais démenti ; les deux enfants sont tour à tour désabusés par tant d’acrimonie héritée du mauvais comportement de leur père, les deux enfants sont toujours aussi attentifs à la découverte du monde et n’éprouvent plus aucune crainte vis-à-vis de la sorcière qui dans sa maison en pain d’épices tente de les capturer à jamais. La complicité des deux enfants joue un rôle important dans cette humanisation des sentiments éprouvés en examinant rétrospectivement la mémoire familiale, l’aventure incertaine dans la forêt.
Tour à tour enjouée, soucieuse, l’ambiance de cette pièce est rythmée par de riches dialogues que les acteurs aiment à faire vivre par une maîtrise consommée des interlocutions. Tragi-comédie embellie par les musiques de Lorita – régisseuse de ces deux représentations, les personnages ont su incarner avec force et charisme des présences pourtant oniriques ; la qualité du jeu de lumière et des effets visuels ont grandement participé de cette rêverie éveillée.
Découvrez les images réalisées avec l’aimable autorisation d’Hélène, Lorita et Anthony par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse lors de la représentation du 9 octobre :
Ce 18 septembre au café-théâtre Michel Lafond, espace scénique de notre institution, enfants et équipes furent enchantés des revisitations de musiques de films des Studios Disney par l’orchestre symphonique Opal Sinfonietta.
Au programme :
« Opening Disney Theme ».
« Le roi lion » extrait de la suite symphonique pour orchestre, musique de Hans Zimmer, Elton John, Tim Rice.
« Beauty and the Beast » de la Belle et la bête musique d’Alan Merken (Chanteurs : Léna Décaudin et Marc Schneider).
« Pour les hommes » (You’are welcome)- tirée du dessin animé Vianna Musique Marc Mancina, arrangement Frédéric Bara (Chanteur : Arthur Calon).
« Jungle Book Ouverture » (Orchestre) musique de R. et Richard Sherman.
« Il en faut peu pour être heureux » Le livre de la jungle musique de R. et Richard Sherman, arrangement Bernard Schneider.
« Partir là-bas » du dessin animé La Petite Sirène musique Alan Merken, arrangement Frédéric Bara (Chanteur : Arthur Calon).
« L’air du vent » de Pocahontas musique d’Alan Merken (Chanteuse : Léna Décaudin).
« Medley » du film Mary Poppins, musique de R. et Richard Sherman, arranngement Luc Bonnaillie.
« I see the light » de Raiponce musique d’Alan Merken, arrangement Bernard Schneider (Chanteurs : Léna Décaudin et Marc Schneider).
« Aladdin » suite symphonique pour orchestre musique d’Alan Merken/Tim Rice arrangement John Glenesk Mortimer.
Un grand merci à Opal Sinfonietta pour ce moment merveilleux permettant d’ouvrir notre nouvelle saison culturelle par d’incroyables vibrations.
Découvrez le film réalisé par Bruno Defachelle, chef de service du DMAD DARF et de la Maison de la Danse :