Conseil de la Culture d’entreprendre, compte-rendu de la réunion du 10 mai 2019

Compte-rendu de la réunion du Conseil de la Culture d’entreprendre
10 mai 2019

Présents :

Joseph Bako, chef de service des studios
Patrick Bourdet, président du Conseil et parrain de l’association
Lumina Henon, éducatrice, Centre de Jour
Quentin Laplace, informaticien de l’association
Christophe Lefèvre, chef de service de la Maison du Cirque et de la Maison du Sport
Emmanuel Paris, directeur adjoint aux affaires culturelles de l’association
Francis Rembotte, membre du Conseil d’administration de l’association

Excusés :

Claire Beugnet, directrice de l’association
Claude Jaouen, président du cabinet « Consulting4TOP »
Emilie Huyghe, direction des Ressources Humaines, Centre commercial Auchan Saint-Martin Boulogne
Natacha Morsa, présidente de l’entreprise « Coding and Bricks »
Frédéric Renaux, manager Sopra Steria, Fondation Sopra Steria sous l’égide de l’Institut de France
Henri Villeneuve, membre du Conseil d’administration de l’association

Ouverture de la septième réunion du Conseil trimestrielle par son président, Patrick Bourdet.

I. Présentation de la contribution du CCE à la rédaction du « projet d’établissement 2019-2024 » :

Les conseils (Conseil d’administration, Conseil de la Culture d’entreprendre, Conseil de la Vie Sociale, Conseil scientifique) et le personnel (Assemblée Générale des personnels) ont été informés du processus d’écriture collective du document tout au long de l’année civile 2019, avec l’objectif de communiquer la version finale au Conseil départemental au mois de décembre 2019. On trouvera ici le détail de l’organisation du document.

Francis Rembotte dit l’importance déterminante de l’articulation entre les valeurs de l’association, et leur mise en œuvre dans le cadre du projet d’établissement. Francis Rembotte souligne combien cette articulation doit dynamiser la politique associative avec pour témoignage régulier de cette efficience l’évaluation qualitative et quantitative des actions entreprises.

Patrick Bourdet recommande d’inclure dans la réflexion stratégique menée à l’occasion de l’écriture collective du document « Projet d’établissement » une prospection de l’évolution des systèmes de contraintes régissant les raisons d’être et d’agir des acteurs composant l’écosystème des Maisons.

Patrick Bourdet cite les trois mots-clés particulièrement importants pour signifier le positionnement d’une institution ; ses convictions, son identité, son ambition.

Emmanuel Paris précise le calendrier de travail convenu lors de la précédente réunion du Comité de pilotage « Projet d’établissement », organisée le 7 mai.

Le Conseil d’administration est en train d’écrire le document « Projet associatif » qui détaillera les valeurs de l’association (partie I. du document « Projet d’établissement » intitulée “Histoire et projet de l’institution”). Conseil de la Culture d’entreprendre et Conseil scientifique seront consultés lors de leur réunion de rentrée, en octobre. Le Conseil de la Vie Sociale y travaillera lors de sa réunion de rentrée, en septembre. De même pour les comités de pilotage thématiques du programme culturel. Les trois Conseils et comités de pilotage du programme culturel enrichiront notamment la partie “Les objectifs d’évolution, de progression, de développement”.

Les équipes de chaque Maison consacreront à partir de la fin septembre, selon la disponibilité de créneaux horaires au-dedans de leur réunion hebdomadaire respective, des moments pour examiner les thématiques demandant des informations propres à leur organisation de travail (exs : les principes d’intervention, les compétences mobilisées, les partenariats).

Emmanuel Paris réalisera au nom du Comité de pilotage « projet d’établissement » la collecte et la synthèse des documents existants, permettant l’écriture de chapitres généraux (exs : l’histoire de l’institution, les missions, le public et son entourage) et les outils spécialisés (fiches action). Cette rédaction s’appuiera sur la compilation des évaluations interne et externe réalisées ces dernières années, ainsi que sur les rapports d’activités édités durant cette période.

Emmanuel Paris collectera par ailleurs régulièrement les écrits issus des réunions d’équipe des Maisons, ainsi des Conseils et comités de pilotage thématiques du programme culturel, afin de les transmettre aux membres du Comité de pilotage « projet d’établissement » pour intégration dans le document « Projet d’établissement 2019-2024 ».

II. Point sur l’avancement de la politique de parrainage et sur le FabLab :

Emmanuel Paris distribue aux participants les articles mis en ligne sur notre site Internet chroniquant l’avancement des deux actions portées par le Conseil au nom de l’association.
On trouvera le contenu de ces articles ici et ici.

S’agissant de la politique de parrainage, les membres du Conseil complètent la liste des institutions à solliciter pour diffuser l’offre :
Rotary club, Lions club, Chambre de Commerce et d’Industrie de la ville de Boulogne-sur-mer, site boulonnais de l’entreprise Sopra Steria, site Auchan de Saint-Martin Boulogne, EDF Gravelines, anciennes et anciens de notre institution, restaurant « La Matelote » de Boulogne-sur-mer, le Casino de Boulogne-sur-mer, la Fédération française du cheval boulonnais, les carrières du boulonnais, la pépinière de la Cluse, la chambre d’agriculture de Boulogne-sur-mer.

Emmanuel Paris précise que des invitations à rencontrer ces différents acteurs de la société civile vont être envoyées dans le courant du mois de juin.

S’agissant du FabLab, Quentin Laplace dit que la plupart des matériels de cette année 1 de l’équipement de la salle est arrivée. Restent en attente la brodeuse numérique et les machines à coudre, les cases qui protégeront les imprimantes 3 D (ces cases seront construites par nos soins).

On trouvera le détail du matériel ici (cf. « III. Présentation des ressources pédagogiques des équipements pressentis pour composer le FabLab des Maisons »).

Patrick Bourdet dit qu’il va tenter de trouver un drone pour les enfants des Maisons.

Emmanuel Paris dit que l’embellissement du FabLab au moyen des stickers inventés par les enfants du Centre de Jour et de la Maison Vive avec leur professeur en arts plastiques Sylvie Mestre et le recours à la machine « plotter découpe » pourra avoir lieu au mois de juin, le lancement des ateliers hebdomadaires étant programmé pour la prochaine saison culturelle, à partir du mois de septembre.

III. Présentation des premières réflexions en matière d’outils évaluatifs du parcours des jeunes résidant dans les studios de notre association :

Emmanuel Paris et Joseph Bako présentent les résultats d’une première lecture de documents relatant le parcours des jeunes âgés de 17 et plus, ainsi que l’évaluation de leur efficacité.

Les documents consultés sont ici, ici et ici.

Ces sources mentionnent la récurrence d’items pour dire la qualité du parcours d’un jeune et les conditions de son émancipation : obtention d’un contrat jeune majeur, obtention d’un logement, obtention d’un emploi.

Francis Rembotte dit que toute évaluation suppose de formuler au préalable des objectifs. Des bilans annualisés pourraient accompagner les évaluations.

Francis Rembotte précise que le terme « autonomisation » est polysémique, il faudra donc veiller à la cohérence des évaluations selon les différents registres lexicaux : parle-t-on d’autonomie financière ? D’autonomie affective ? D’autonomie administrative ?

Joseph Bako a rédigé une note afin de proposer un premier état de ces objectifs et que le Conseil puisse aviser lors de sa prochaine réunion, en novembre.

Le texte de Joseph Bako est ci-après :

“CREATION D’UN OUTIL D’EVALUATION DES STUDIOS
Pourquoi une évaluation des studios ?

– Dresser le bilan quantitatif et qualitatif de l’offre Studios aux MECOP et en déterminer les perspectives et les objectifs de développement.
– Préciser le cadre de leur utilisation au sein des MECOP
– Définir les critères d’évaluation des actions conduites.

Il s’agit de donner un sens global aux actions déployées vers nos jeunes engagés dans un processus d’insertion sociale et professionnelle. Il s’agit de dresser l’état des lieux de la situation actuelle afin de dégager les grands enjeux de demain en termes d’autonomie.

Nous allons commencer par une analyse quantitative et qualitative. Pour ce faire, nous allons utiliser des données multiples issues :
– du JDB,
– des DIPC
– de nos listings internes (listes des jeunes, démarches de recherche d’emploi et/ou de formation exécutées, situation au sortir du studio : retour en famille, démarches de recherche de logement chez des bailleurs sociaux et des bailleurs privés) …

Méthode et outils :
 Entretiens semi-dirigés.
 Ateliers ou séances de rencontres avec des anciens
 Une étude des enjeux de l’autonomie dans les projections des jeunes
 Un comparatif avec ce qui se fait ailleurs
 Une analyse documentaire et statistique internes et externe

À travers ce travail, nous pourrions tenter de nous pencher sur les questions de :
– La Pertinence du dispositif : adéquation ou pas avec les besoins des jeunes et des acteurs ?
– Cohérence : Quelles sont les complémentarités et spécificités de nos interventions pour les jeunes ?
– Effectivité et efficacité : Les actions que nous menons avec les jeunes ont-elles bien eu les résultats attendus ? Si non, pourquoi ?
– Efficience : Quels ont été les moyens mobilisés en terme d’accompagnement et de partenariat dans cet accompagnement ?

Items à creuser :
– Les retours en famille des jeunes
– La place que doit prendre le parrainage

Emmanuel Paris propose que les méthodes d’évaluation du parcours des jeunes accueillis dans les studios de l’association soient façonnées au moyen d’un tableau en deux colonnes (colonne 1 : « oui », colonne 2 « non »).
A titre d’exemples, cet outil pourrait ainsi donner :

« A sa sortie des effectifs, le jeune » Oui Non
–          Retour en famille
–          Suit une formation
–          A obtenu des diplômes
–          A un logement
–          A un emploi
–          Est affilié à une ou des associations

S’agissant de l’affiliation à une association, Patrick Bourdet dit qu’il serait intéressant de spécifier la nature de celle-ci. Patrick Bourdet explique qu’une association axant sa raison d’agir le don de soi pourrait par exemple indiquer combien le jeune s’ouvre à la relation altruiste, oh combien importante pour mener une vie bonne en société.

Patrick Bourdet cite l’association « Agence du don en nature » dont on trouvera la présentation ici.

Patrick Bourdet propose de réfléchir à la pertinence d’une rencontre avec cette association.

Les membres du Conseil agréent cette proposition.

IV. Présentation du thème de la saison culturelle prochaine ainsi que du programme du festival « Les journées d’enfance 2019 » :

La proposition du thème inspirant la prochaine saison du programme culturel de notre association est : « Rien n’est joué d’avance ».

Cette formule valorise l’ouverture du temps vécu par les enfants et les jeunes de l’association, ouverture rendue possible par les activités du programme d’établissement L’aventure de la vie. Par leur capacité à transporter les enfants dans le passé, le futur, à les accompagner dans ce qui revient et ce qui devient, les arts, lettres, sciences, sports, technologies mobilisées par le programme permettent une articulation harmonieuse avec un présent vécu souvent douloureux, inhibant.

Emmanuel Paris remercie Patrick Bourdet pour avoir accepté que le thème puisse reprendre le titre de son ouvrage, et dit que l’entretien de Patrick Bourdet avec les enfants de chaque Maison ce 10 mai 2019 pourra sans doute contribuer à la valorisation de cette formule par des paroles diffusées lors du colloque, le 5 juillet 2019.

Patrick Bourdet propose à l’association l’idée de découvrir pendant quelques jours sur place l’histoire relatée par le livre. Il s’agirait pour enfants et éducateurs durant la prochaine saison de mesurer avec Patrick Bourdet dans la forêt landaise, où s’est trouvée la cabane au cœur du récit biographique, combien rien dans la vie n’est joué d’avance. Ceci, ajoute Patrick Bourdet, permettrait aussi aux enfants de voir combien la résilience personnelle peut être aussi celle d’un territoire – en l’occurrence le lieu de la cabane, réinventé depuis les efforts par Patrick Bourdet et son frère pour refonder l’endroit.

Cette proposition est agréée par les membres du Conseil.

S’agissant du festival « Les Journées d’Enfance 2019 », le spectacle sera organisé le jeudi 5 juillet 2019, à partir de 20h dans la salle Le Phenix d’Outreau.

Le 4 juillet 2019, de 10h à 12h au café-théâtre de la Ferme de Bertinghen seront réunis le Conseil de la Culture d’entreprendre, le Conseil de la Vie Sociale, le Conseil scientifique et les comités de pilotages thématique du programme culturel.

Le 2 juillet 2019 de 12h à 17h, à l’occasion du rassemblement annuel avec les anciennes et les anciens sur le site de la Ferme de Bertinghen, sera inaugurée l’oeuvre immatérielle et matérielle célébrant le petit déjeuner sous l’herbe, en présence Maki Suzuki, d’Art Connexion et de nos soutiens pour l’accomplissement de cette résidence 2019 : la Fondation de France et de la Fondation Daniel et Nina Carasso sous l’égide de la Fondation de France.

Le tournoi inter-Maisons (joutes nautiques sur la Liane) organisé en partenariat avec le BCK aura lieu le mercredi 26 juin de 17h à 19h.
Un programme sera prochainement édité, officialisant l’organisation générale du festival (incluant aussi les activités nautiques sur la Liane, le rassemblement des grandes tables de la ferme le 2 juillet, le visionnage des chroniques de la saison 2018-2019).

Le colloque sera organisé dans le cadre de notre festival annuel « Journées d’Enfance 2019 ». Il aura lieu sur le site de l’Université Littoral Côte d’Opale, antenne Saint-Louis. L’amphi 1 et trois salles de ce site universitaire sont réservés.

Le programme finalisé est le suivant :

8h30-9h : accueil
9h-9h20 : discours de bienvenue
9h20-9h50 : diffusion dans l’amphithéâtre du film relatant la réflexion de Patrick Bourdet, parrain de notre association avec des enfants des Maisons, à propos du thème de la saison (film en cours de réalisation) ;
9h50-10h20 : intervention de Jean-Paul Demoule sur les plus célèbres faux semblants en archéologie ; vestiges volontairement détournés par leurs créateurs dès leur réalisation, qui ont donné lieu cependant à des interprétations a posteriori, une fois ces vestiges découverts lors fouilles, étayant des récits de développement de civilisation.
10h20-10h50 : intervention de Philippe Richard et Gérard Tonnelet sur l’art clown exercé dans le cadre de leur association “Les ajusteurs du Pas-de-Côté”. Rôles, postures, figures typiques sont tour à tour examinées.
11h-12h30 : trois ateliers co-animés chacun par un duo membre du conseil scientifique / membre du personnel de l’association, proposant aux auditeurs de discuter des acceptions du thème de la saison culturelle :
• atelier 1 : “Joie et société, joie et collectif” (Christophe Lefèvre, chef de service de la Maison du Cirque et de la Maison du Sport) : Frédéric Lenoir auteur de « la puissance de la joie » dit : les plus grandes joies viennent de la convivialité, du partage, de la communion.
Joie de vivre,
Joie partagée
L’explosion de joie lorsqu’un but est marqué par le camp que l’on supporte.
La joie ne se décrète pas mais on peut créer un climat favorable
Spinoza ou Montaigne considéraient que le sens de la vie était de faire grandir la joie autant qu’on le peut, malgré toutes les épreuves et les difficultés de l’existence.
• atelier 2 : “La Joie et le temps” (Joseph Bako, chef de service de la Maison de la Musique et du service Itinérance) :
Nous allons nous intéresser à différentes façons d’appréhender et de définir la joie à travers le temps, au fil du temps !
Nous allons l’examiner des points de vue de Leucippe, penseur de la Grèce antique qui définissait la joie comme le but de la vie ; Spinoza ou Nietzsche qui voyaient en elle un synonyme d’existence ; et Robert Mesrahi (ancien professeur de philo à la Sorbonne aujourd’hui âgé de 93 ans) qui nous exhorte à la faire jaillir en ce XXIe siècle qu’il qualifie de « temps de l’exaspération ».
Nous allons tenter ensuite de tendre vers l’assertion selon laquelle « l’homme n’est vraiment homme que dans la joie » !
• atelier 3 : “Joie et éducation” (Sandrine Loggia, chef de service de la Maison de la Danse et du service de maintien à domicile et du retour en famille / Fabienne Legagneur, maîtresse de maison de la Maison des Découvreurs) : Bel oxymore diront les « rabat-joie » ! Et pourtant, souvenons-nous des éclats de joie que nous arrachons parfois au plus profond du chaos. Ces joies qui nous rattachent au plaisir profond de notre métier, atténuent nos doutes et adoucissent les existences…
Finalement n’est-ce pas l’essentiel à transmettre et à partager ? Partons à la source de nos fous rires, remplissons nos réservoirs de souvenirs, il viendra vite le temps de distiller dans les têtes de nos chères petites têtes blondes un peu de ces graines réparatrices qui font grandir…
12h30-13h30 : repas au CROUS du site universitaire ;
13h30-14h : les duos ayant animé les trois ateliers du matin réfléchissent à une synthèse des propos qui s’y sont dits ;
14h-14h30 : Guillaume Moreau, co-animateur des ateliers théâtre de l’association Asperger Amitié ;
14h30-15h : intervention à confirmer ; programme Les nouveaux commanditaires de la Fondation de France – réalisation d’interventions artistiques dans une Maison d’Enfants à Caractère Social (cliquer ici pour un exemple) ;
15h-16h : restitution collective des ateliers du matin, appuyée par les dessins de Christian Antonelli réalisés durant la journée de colloque.

Patrick Bourdet relève l’intervention consacrée au travail éducatif avec les enfants autistes asperger, et recommande les retours d’expérience de l’association “Ikigai” dont on trouvera la présentation ici.

Patrick Bourdet pense que des échanges avec Madame Agnès Cossolini, co-fondatrice de l’association, serait particulièrement intéressants pour les équipes des Maisons dont certains enfants peuvent présenter des troubles du comportement non diagnostiqués en l’état mais sans doute relevant de la neuropsychiatrie.

IV. Question annexes :

Patrick Bourdet demande au Conseil de réfléchir aux moyens à mettre en œuvre pour assurer une plus grande assiduité des membres aux réunions. Faut-il fixer un quorum en deçà duquel toute réunion est annulée et reportée ?

Francis Rembotte dit que le thème du Conseil de la Culture d’entreprendre n’est sans doute pas assez attractif. Francis Rembotte observe le même phénomène pour le Conseil scientifique.

Patrick Bourdet et Francis Rembotte disent que les temporalités du monde de l’entreprise ou du monde scientifique ne concordent pas avec celle du travail associatif ; pas assez rapide, ou trop lent, les raisons d’agir aux chronologies distinctes peuvent générer des incompatibilités d’emploi du temps.

Patrick Bourdet et Francis Rembotte observent un second phénomène pouvant expliquer ces absences aux réunions ; des membres de droit peuvent cependant se considérer illégitimes considérant le sujet mis à l’ordre du jour.

Emmanuel Paris dit que ces réflexions nourriront à bon escient l’écriture collective du « projet d’établissement ».

La prochaine réunion des Conseils et comités de pilotage du programme « L’aventure de la vie » sera organisée le jeudi 4 juillet, de 10h à 12h.

Patrick Bourdet clôt la septième réunion du Conseil.