Lancer la voix, tenir le souffle et adresser son chant : grande lamentation à deux (Alice et Enzo).

Métaphore d'une dangereuse traversée : "le funambule" chante sa traversée sur un fil imaginaire tendu par les voix "droites" de ses deux partenaires (cela crée un trio de deux "bourdons" sur lesquels s'appuie  un soliste : Alice et Natacha sont le fil, Enzo est le funambule).

"Appels dans la montagne" : lancer la voix sans crier, l'espace imaginaire est vaste, on s'écoute, on se répond, on chante tous ensemble (avec Justine, Michael, et Mathéo).

Une chanson de Louane qu'ils m'ont proposée sur une marche tranquille , lente et tenue.